La Synecdoque

( BE )

Tout est parti d’Emilie Plazolles qui, après moult projets et collaborations, a ressenti la nécessité de donner nom et maison à toutes ses parties. Parties qui, pour elle, étaient déjà un tout. Un tout qui n’était autre que chacune de ses parties.

La Synecdoque, c’est un nom, comme une revendication du fait que chaque partie est le tout et que le tout est dans chaque partie. Que le théâtre peut raconter l’universel en parlant de l’intime. Et inversement. Que chaque moyen est la fin. Et inversement.

La Synecdoque, c’est une maison. Elle abrite plusieurs projets, elle reçoit des personnes venues d’horizons différents, elle rassemble, sous son toit, des «domaines» variés (marionnette, théâtre invisible, transmission…).

C’est une maison sans mur. Les gens, les objets qui la peuplent sont distingués les uns des autres par de fines membranes et non séparés par des cloisons. Ces membranes laissent entrer et sortir au gré des envies, des rencontres et des besoins. Et tous les mouvements, à l’intérieur comme à l’extérieur, les mettent en vibration, engendrent des résonnances.

création

Ida ce soir

Projet

Paris, 1934 : danse, musique, plumes et paillettes.
C’est Ida, vedette, indétrônée depuis des décennies, qui tient le haut de l’affiche. « La petite étrangère » accueillie avec tant d’hostilité et de mépris lors de son arrivée en France, jouit aujourd’hui pleinement de sa revanche : elle est LA reine du Music-Hall parisien. Et compte bien le rester, n’en déplaise aux jaloux de tous poils.
Ida est une guerrière. Mais une guerrière qui s’apprête à livrer sa dernière bataille.

Le soir de son ultime première, le masque tombe : à peine entrée en scène, elle s’effondre et ne se relève pas. Ida, c’est l’histoire d’une chute, la chute d’une étrangère qui avait, presque, mis Paris à ses pieds.

disciplines

Marionnettes
Danse
Théâtre

RéSIDENCES

Travail au plateau > Salle  >  30.08.19 au 04.09.19

AIDES à la création

avec le public

Première Partie > 22.05.2020

Liens