Chute !

Cie LA Volte Cirque / Fr        

VEN 15 OCT 2021   20:30
SAM 16 OCT 2021   20:30

0h52

tout public à partir de 8 ans

sur la scène du cirque
de latitude 50

Chute ! c’est un retour à l’acrobate terrien, celui qui chute, qui a peur et en jouit.

Dans une tentative de conférence spectaculaire, deux acrobates, même taille, même poids et même âge s’interrogent : Que nous dit l’acrobate ? Qu’a-t-il à nous apprendre ? Que nous raconte l’acrobate qui chute ? Comment s’organise-t-il pour résister à la gravité ? Quand il saute, l’acrobate rêve-t-il d’envol ou de chute ? Quel rapport entretient-il avec la mort ? Avec la vie ? Avec le risque ? Avec le vertige ?

Matthieu Gary et Sidney Pin nous dévoilent ici les coulisses de ce qui se joue dans la chute : les désirs, les peurs, les sensations, notre humanité. Entre analyses presque scientifiques et déséquilibres, Chute ! est un spectacle de proximité, épuré et joueur… Une création percutante, à la fois intime et brute de décoffrage, où l’on regarde les hommes tomber et surtout où l’on comprend pourquoi ils se relèvent.

De et par : Matthieu Gary et Sidney Pin – Compagnie La Volte-cirque. Regards extérieur : Marc Vittecoq. Création lumière : Clément Bonnin. Régie générale : Julien Lefeuvre. Administration : Valéria Vukadin. Diffusion : Elsa Lemoine / L’Avant Courrier. Remerciements à Thomas Laigle, Pauline Dau, Lawrence Williams, Suzanne Sebö, Fanny Sintès et Marion Collé. Crédit photo : Vasil Tasevski. Graphisme du dessin pour la feuille de salle : Suzanne Sebö.

Tout est beau dans Chute !, le ballet des corps qui tombent et se relèvent avec une grâce infinie. La complicité tragicomique des deux interprètes et leur façon légère et drôle de s’appuyer sur le public disposé autour d’un ring. Un espace minimum pour du grand cirque !
Sandra Basch  – Elle  – Octobre 2016

En première partie à 20:00 dans la salle de résidence : TBTF

Mellow Yellow, est un spectacle en immersion pour espace épuré dans lequel la vie du quotidien et la performance se côtoient. Les notions concrètes deviennent abstraites puis absurdes. Les artistes s’inspirent de la réalité pour aller vers un lieu inexistant et jouer sur une notion commune à tous : le temps.